Une maison de vacances en Provence ? Votre petit nid à Paris ? CA next bank vous donne les clés pour concrétiser votre rêve !
Voici quelques explications sur les principes de bases pour l’achat d’une résidence secondaire en France qui vous permettra de vous lancer avec confiance dans ce projet immobilier.
Une résidence secondaire en France, combien ça coûte ?
Pour financer votre résidence secondaire en France, il vous faudra un apport en fonds propres : ils doivent au minimum couvrir 33% du prix du bien. À noter que ceux-ci ne peuvent pas provenir de vos avoirs de prévoyance.
En ce qui concerne les deux tiers restants pour lesquels vous ferez très certainement un prêt hypothécaire, les charges doivent représenter au maximum le tiers de votre revenu brut. Attention aux charges qui se cumulent avec votre résidence principale : frais liés au prêt hypothécaire de votre résidence principale ou votre loyer actuel.
Quel mode d’amortissement possible ?
Chez CA next bank, non seulement nous finançons votre projet, mais nous vous offrons également le choix du mode d’amortissement. En modulant les charges mensuelles en fonction de votre capacité de remboursement, vous vous assurez que les charges mensuelles ne pèsent pas trop sur votre budget.

Option 1 : Vous pouvez choisir d’amortir votre bien de la même manière qu’avec une banque française et ainsi amortir la totalité de votre prêt.

Option 2 : Vous pouvez également choisir un amortissement à la suisse et dans ce cas nous vous offrons en exclusivité la possibilité de ne pas amortir jusqu’à 50% de votre prêt.
En décidant de ne pas amortir la totalité de votre prêt, vous diminuez ainsi vos charges mensuelles : celles-ci peuvent varier du simple au double, selon la part de non-amortissable que vous choisissez.
Et au niveau des impôts, qu’est-ce que cela change ?
L’acquisition d’un bien immobilier en France engendre des changements importants dans la situation fiscale des résidents suisses. Qu’il s’agisse d’une résidence secondaire ou locative, cet achat viendra impacter la taxation en France mais également en Suisse :
- Les impôts locaux : la taxe foncière et la taxe d’habitation, toutes deux forfaitaires et à régler chaque année.
- L'imposition sur le revenu : en devenant propriétaire d’un bien en France, le résident Suisse doit, chaque année, ajouter la valeur locative de ce bien à son revenu en Suisse. Cette dernière impactera le taux d’imposition (barème) mais pas le revenu imposable.
- L'imposition sur la fortune : à régler à l’administration fiscale française lorsque la fortune immobilière nette (dettes hypothécaires déduites) en France est supérieure à 1 300 000 euros.
- Imposition sur la plus-value immobilière : en cas de revente, la plus-value sera taxée exclusivement en France. En fonction de la durée de détention, des abattements pourront être déduits et permettront de minimiser le montant taxable.
- Imposition sur les successions et donations : en cas de transmission d’un objet immobilier en France par un résident Suisse suite à une succession ou une donation, le traitement fiscal sera réalisé exclusivement par la France.
Besoin d’un accompagnement personnalisé ? Nos conseillers se tiennent à votre disposition et vous accompagnent jusque dans vos démarches administratives, des deux côtés de la frontière.